Ensemble, on s'occupe de la nouvelle génération à Maskinongé

Ensemble, on s'occupe de la nouvelle génération à Maskinongé (2 min 14 s)

Ajoutée le 26 octobre 2015

Résumé de la vidéo

Pierre-Philippe Foucher raconte comment, de l'élaboration du plan financier au 1er prix provincial Ruralia, la coopérative Les Petits Bâtisseurs, dont il est l'un des fondateurs, a pris forme. Il y explique aussi comment la nature coopérative de l'entreprise fait en sorte que, pour lui comme pour tout parent qui en utilise les services, il ne s'agit pas que d'un endroit où on va mener chaque jour son enfant.

Ensemble, on s'occupe de la nouvelle génération à Maskinongé(2 min 14 s)

Ajoutée le 26 octobre 2015 | Mouvement Desjardins

Note : Les informations placées entre crochets décrivent le contenu visuel et audio de la vidéo autre que le dialogue ou la narration.

[Texte à l'écran : Ensemble, on s'occupe de la nouvelle génération à Maskinongé]

[Musique d'ambiance.]

[Texte à l'écran : Pierre-Philippe Foucher, fondateur de la coopérative Les Petits Bâtisseurs]

[Pierre-Philippe s'adresse à la caméra.]

Pierre-Philippe Foucher : Dès qu'une communauté où plusieurs personnes se mettent ensemble pour réaliser un projet, on est capables d'arriver à quelque chose d'intéressant.

[Pendant que Pierre-Philippe parle défilent des plans de la rivière, de la municipalité de Maskinongé et de son église, vues d'un champ, puis d'un enfant en vélo qui roule derrière l'église, le long du cimetière.]

Pierre-Philippe Foucher : À Maskinongé, il y avait 42 places en garderie pour 96 enfants. Il n'y avait pas de service de garde après l'école. Et le camp de jour, c'était un camp de jour standard d'une durée de 6 semaines.

[Vue sur la façade avant de la garderie, puis sur l'enseigne « Les petits Bâtisseurs, garderie et service de garde ».]

Pierre-Philippe Foucher : Donc, on a mis tout ça ensemble, et on s'est dit : « Qu'est-ce qu'on peut faire pour régler cette situation? » Puis c'est comme ça que la coopérative a commencé.

[Vue intérieure de la garderie où des enfants s'amusent sous la garde d'une éducatrice.]

Pierre-Philippe Foucher : Initialement, [les conseillers de] Desjardins nous ont aidés à bâtir notre plan financier avec eux pour s'assurer que ça soit conforme et que ça puisse avancer.

[Pendant qu'il parle, des vues de Pierre-Philippe assis sur un banc dans la cour de la garderie s'adressant à la caméra, puis des enfants s'amusant à l'extérieur alternent.]

Pierre-Philippe Foucher : Puis on a gagné le premier prix provincial Ruralia-Desjardins. Avec ce prix, on a pu acheter des tricycles, des petits vélos, tous les équipements qui sont normalement très dispendieux. Et ça, c'est très apprécié! Gros avantage d'être un groupe coopératif, c'est le fait que tout parent, toute personne qui bénéficie des services a un impact direct sur l'entreprise. Ça ne sera pas juste un endroit où je vais mener mon enfant…

[Vues successives des enfants à l'intérieur de la garderie entourant leur éducatrice qui leur raconte une histoire, marionnette à la main, sur un matelas de sol, puis sortant en rang l'un derrière l'autre du vestiaire de la garderie.]

Pierre-Philippe Foucher : … C'est un endroit où je vais mener mon enfant mais, en même temps, je veux le faire évoluer, je veux le faire avancer, je veux m'assurer qu'il ait la bonne éducation.

[Images nocturnes d'un quartier résidentiel et d'un bungalow. Le père et la mère, leurs enfants dans les bras, sont assis à la table de la salle à dîner et s'adressent à la caméra.]

[Texte à l'écran : Famille Auger, membre de la coopérative Les Petits Bâtisseurs.]

[Pendant que le père et la mère parlent, des images de leur fille à la garderie, puis de la chambre de chaque enfant défilent. Gros plan sur une photo du groupe de Méghan à la garderie avec leur éducatrice trônant sur la commode de sa chambre.]

La mère : Quand nous sommes arrivés à Maskinongé, le service de garde allait ouvrir. Donc, nous sommes là depuis le début. On fait partie des pionniers. Par la suite, Méghan a eu une condition physique qui était particulière. On n'était pas certains de pouvoir trouver une garderie qui allait s'occuper d'elle et lui donner les soins dont elle avait besoin. Mais Les Petits Bâtisseurs nous ont sauvés : ils lui ont donné les soins [requis]. On a eu la chance qu'ils s'occupent bien d'elle.

Le père : On a beaucoup de rendez-vous avec Méghan dans différents hôpitaux, avec des spécialistes. Puis Les Petits Bâtisseurs, justement, travaillent toujours en harmonie avec nous. Si on a des exercices à faire avec Méghan, ou quoi que ce soit, ils les font avec elle. Ça, on l'apprécie beaucoup!

La mère : Le matin, nous partons confiants, la tête tranquille. Pour des parents, c'est ce qui est merveilleux. Oui! [rire]

[La vidéo se termine avec la famille qui pose devant la maison.]

[Texte à l'écran : Aux millions de membres Desjardins, merci]

[Image à l'écran : logo Desjardins DESJARDINS.COM/ENSEMBLE.]